Rav Eliahou Matusof de Brooklin et le Rav Shapira de la maison Hamafitz (Brooklin) livrent leurs secrets en photo https://www.lichkalubavitch.org/templates/articlecco_cdo/aid/982054/jewish/Galeries-photos.htm
Selon la tradition 'hassidique, ils vont chaque année en Calabre où poussent des Etroguim réputés pour leur qualité.

	Les vergers, dont les propriétaires connaissent la valeur et traitent avec les communautés juives depuis des années sinon des siècles sont entretenus avec un soin particulier, tant pour mettre les précieux fruits à l'abri du gel ou de la sécheresse, que pour empêcher la pousse de ronces qui pourraient altérer la qualité du fruit.
	Les arbres sont cultivés en espalier pour faciliter l'examen et la récolte, qui le plus souvent se fait à quatre pattes.
	Chaque arbre est examiné pour vérifier l'absence de greffe,
	et chaque fruit est examiné individuellement avant même la coupe, pour ne récolter que des fruits qualifiables et éviter les rebuts.
	Vient ensuite le long travail de choix, tri et qualification des Etroguim par des connaisseurs.
	Si les rebuts sont revendus au kilo sur les marchés locaux, les meilleurs seront vendus aux connaisseurs du marché américain et pourront parfois atteindre quelques milliers de dollars…
	Retrouver de tels Etrog à Paris?